Les nouvelles se suivent et ne se ressemblent pas

J’ai appris il y a une dizaine de jours que je serai de la 14e édition du Festival des arts de Montréal-Nord, dans un spectacle collectif intitulé « Une invitation à la poésie d’un soir ». J’y présenterai des haïbuns (textes mêlant prose et haïkus) et quelques contes… Je suis très contente de participer, cette année encore, à ce festival sympathique!

Par contre, aujourd’hui, j’ai reçu un refus pour un projet de textes courts sur le thème de la traduction (une prochaine fois, qui sait?). Voici les quelques textes soumis en exemple :

traduction libre de l’univers
en écriture alchimique
sur les écorces des arbres

écouter le silence
pour mieux comprendre nos voix
dans la forêt qui respire

des pas dans la neige
si légers que mon cœur s’y perd
la terre parle

traduire l’insondable
du monde
sur le papier, une tache d’encre

le murmure de l’eau
en gouttelettes indéchiffrables
dans le miroir, mes larmes

écrire pour transcrire
nos émotions et nos espoirs
fleurs de lune sur la terre

(Tous les textes sont Tous droits réservés © Julie Turconi, utilisation ou reproduction interdite sans l’autorisation de l’autrice)

Mais d’un autre côté, certaines de mes œuvres visuelles ont été sélectionnées pour faire partie de la nouvelle collection en ligne de Gallea : https://www.gallea.ca/fr/galerie?subject[]=oeuvresdepetitestailles_331

Comme quoi, les plateaux de la balance cosmique des arts s’équilibrent parfois… 😉

   



Les commentaires sont fermés.